julesinfo

ANALYSE: Difference entre faculté, école et institut à l'université

          Les notions de facultés, écoles, et instituts sont très nuancées. Et par définition la faculté désigne l’université. Selon le dictionnaire Larousse, «la faculté est un établissement d’enseignement supérieur », qui porte de nos jours, le nom d’université. L’institut est un centre de recherches scientifique. Aussi, il peut être un centre supérieur de formation professionnelle. Puis, l’école est  un établissement supérieur  où les formations données sont d’ordre professionnel.

         Mais par extension, et surtout par leur caractère, écoles et instituts peuvent se confondre. En  effet les écoles tout comme les instituts sont différentes des facultés sur le plan, de la discipline et des offres de formation. Au sein d’une école ou institut, l’ordre et la discipline sont nettement plus observés qu’à la faculté où l’étudiant semble être plus indépendant et  responsable. Dans une école ou institut par exemple, les étudiants sont bien surveillés, bien encadrés ; on instaure parfois même, le port d’un uniforme pour tous les étudiants, afin de les distinguer des facultés. En exemple, on peut citer : L’Institut des Sciences de l’Information de la Communication et des Arts(ISICA), et  l’Ecole de Secrétariat De Direction (ESDD), qui sont à l’université de Lomé.

          Sur le plan  formation, les écoles ou les instituts sont beaucoup plus axées sur l'apprentissage d'u métier et ont des relations fortes avec le monde des entreprises. Alors qu’à l'université, pendant les  trois premières années (licence), les cours sont très théoriques. C'est extrêmement enrichissant et cela permet d'apprendre des choses que l’on  ne peut savoir autrement que par la lecture. Pendant les trois premières années à l’université, l’étudiant est appelé à suivre ou à écouter l’enseignant, comme un croyant  qui écoute l’évangile à l’église. Il n’existe pas de formations professionnelles à l'Université, qui sont axées sur un métier, un domaine de compétence, au cours des trois premières années. S’inscrire à la faculté, dépend beaucoup de ce que l’on veut faire et aussi de sa personnalité. En exemple, qui adore apprendre et découvrir,  ne regrette en rien d'avoir été à la faculté.

          Tout dépend aussi, des frais d'inscription dans une école ou institut sont souvent plus élever qu’en faculté. Les conditions d’accès à une faculté comme celle de Droit ; des lettres et sciences humaine (FLESH), ou toute autre faculté sont simples alors que les conditions d’inscription dans institut ou école, sont beaucoup basées sur les critères de sélection. On peut aussi dire que les écoles ont très souvent une bonne réputation par rapport aux facultés. Plus sérieusement, cela dépend, l'école ou l’institut, a en général meilleure réputation. Mais attention! Cela dépend des filières, parfois mieux vaut une très bonne formation en université, qu'une école ou institut médiocre.

          Ainsi, de façon générale, l’on peut spécifier l'école ou l’institut, comme étant une étape fondamentale, ou même, une étape déterminante dans le devenir du futur universitaire, car une bonne initiation prédispose l'étudiant à être un bon universitaire. L’université, elle, est un lieu de rencontres entre toutes les générations, mais surtout, une vraie machine qui ne produit que de gros diplômés, qui pour la plupart d'entre eux, n’inspirent aucune confiance pour défaut de bagages intellectuels. Il y a certes des exceptions, mais il ne faut pas compter beaucoup


08/02/2013
15 Poster un commentaire

ENQUETE: Comment réussir avec le système LMD?

Le LMD, est un nouveau système d’enseignement universitaire. Instaurer depuis 2008 sur le campus universitaire de Lomé, ce système est un ensemble de réformes innovatrices de l’enseignement universitaire. C’est un système dans lequel, la réussite de l’étudiant résulte en majeure partie de son  effort.

« Ici l’effort de l’étudiant doit être vraiment considérable, étant donné que ce dernier doit capitaliser 180 crédits pendant six semestres, afin d’avoir sa licence LMD, et 300 crédits avant d’avoir son Master. Le chemin est donc très long et très épineux, surtout dans nos pays en voie de développement, où les  moyens d’application convenable de ce système sont très insuffisants», déclare Jean Paul, étudiant en Master à l’Université de Lomé, que nous avons rencontré dans le cadre de notre enquête. Comme Jean Paul, P. Jacques, étudiant en communication à l’université de Lomé a aussi la même vision, « Les réformes LMD obligent de l’étudiant beaucoup de vigilance, de la ponctualité, du courage et surtout du travail. Mais cela ne suffit pas aussi car, en plus de son travail, il faut que l’étudiant soit toujours branché à la recherche, c’est-à-dire, à l’informatique ou aux nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (TIC). Je peux même dire qu’en LMD, pour que l’étudiant réussisse mieux, il va falloir que celui-ci soit en quelque sorte son propre enseignant. Il doit beaucoup apprendre, et ce, par les recherches… Puisque, 1 crédit vaut 12 heures d’enseignement; ce qui vaut 20 heures de charge de travail pour l’étudiant… Je peux dire de façon bref, qu’en LMD, la réussite se trouve au bout de l’effort. C’est l’effort qui paye donc !». Cette vision est la même chez beaucoup d’étudiants que nous avons croisé dans le cadre de notre enquête.

       Mais pour d’autres étudiants, comme Lawson Simon, étudiant en Gestion des ressources humaines «…Réussir en LMD est d’abord une affaire de semestrialisation et de capitalisation. Et, plutôt que de parler vaguement des recherches avec les TIC, il faudrait surtout souligner que, c’est seul l’étudiant qui sait utiliser les TIC qui réussi mieux. Je veux dire par là que, l’étudiant doit avoir le sens du flaire ; il doit être  intelligent et sensible à ce qu’il cherche sur le net… N’oublions pas  aussi les moyens financiers qui sont très capitaux pour étudier en LMD, lorsque nous savons bien qu’il faut sortir de l’argent  pour avoir un stylo, ou un ordinateur sans oublier d’autres articles qui coûtent les yeux de la tête. »

        Selon le LMD INFO, N° 004 novembre 2010, page 3, pour étudier et réussir en LMD, exige quatre principes fondamentaux chez un étudiant. D’abord, que ce dernier  soit, « Un sujet qui aborde les études avec un projet professionnel en grande partie élaboré… », En suite, « Un sujet à même de prendre des décisions tout au long de son parcours de formation : choisir telle ou telle unité d’enseignement, compléter sa formation, se remettre à niveau, etc. »  Après, « Un sujet capable de tirer profit de toutes les ressources mises à sa disposition pour se former le mieux possible : ressources humaines et documentaires. » Et en fin, « Un sujet à même de persévérer tout au long de son parcours en gardant une vision claire et réaliste de l’issue de sa formation : l’insertion professionnelle dans les meilleures conditions possibles. » Ainsi disons que, réussir  en LMD exige simplement que l’étudiant soit un sujet autonome et conscient de ce qu’il cherche, de ce qu’il veut, de ce qu’il peut et tout en souvenant de son avenir professionnel. L’étudiant doit être éveillé et surtout s’informer. Il doit s’organiser et se tenir prêt à utiliser plusieurs chemins pour l’apprentissage.  Cela lui permettra de maximiser ses chances de réussite, si non il risque d’aller  en dérive.

       Mme P. Justine directrice d’un institut à l’université de Lomé pense quant à elle que « Le succès des étudiants dépend de leur comportement. Tout étudiant qui veut réussir doit adopter un bon comportement, un comportement digne. Il doit savoir aussi ce qu’il vient chercher à l’université. Une fois que l’étudiant sait le but pour lequel il est au campus, il saura automatiquement lui-même, ce qu’il doit faire pour réussir. C’est dire simplement que, le succès d’un étudiant en LMD, dépend en majeure partie de son travail, de son effort et de sa disponibilité à étudier vraiment ».

        Cependant, il n’y pas seulement que la recherche, le travail, et la disponibilité de l’étudiant qui sont facteurs de réussite avec le système, mais «…aussi, l’environnement ou le cadre d’étude. Ce qui signifie que les infrastructures devants accueillir les étudiants, s’y  trouvent aussi impliquées. L’étudiant doit avoir à sa disposition de grandes bibliothèques pour se documenter; des amphis bien aménagés; des salles d’informatiques bien équipées. Aussi en LMD, la qualité et le nombre d’enseignants sont aussi considérables en matière de facteurs de réussite des étudiants…»Voilà ce qu’un étudiant, sous couvert d’anonymat, a affirmé.

         En bref, quoi que l’on dise, il est souhaitable de reconnaître que la réussite en LMD  dépend en majeure partie de l’étudiant lui-même. Celui-ci doit travailler d’arrache pied, ardemment et avec zèle afin de pouvoir émerger. Il doit avoir un comportement adapté aux études et surtout être un perpétuel chercheur. Il est vrai que cela  coûte les yeux de la tête aux étudiants, surtout ceux des pays en voies de développement, mais comme le dit-on «vouloir c’est pouvoir ». En LMD, l’étudiant qui aspire à la réussite doit simplement être un sujet autonome et complet.


08/02/2013
0 Poster un commentaire

Non à l’insalubrité dans les amphis!

Haut lieu du savoir et de la connaissance, l’université de Lomé n’est pas aussi épargnée par l’insalubrité. Une situation déplorable et nuisible à la santé, qui est causée par les étudiants eux-mêmes.

     Papiers mouchoirs usés et dispersés à tout bout de champ, morceaux de craies, mines de stylos ou de crayons, sachets de toutes couleurs et de toutes sortes laissées ça et là dans les amphis, voilà ce que l’on retrouve quotidiennement dans tous les amphis après chaque cours. Au dehors, ceux sont des poubelles sauvages qui jonchent tous les coins et recoins du campus universitaire de Lomé et dégageant des odeurs nauséabondes.

     Cette situation est essentiellement relative aux actes posés par les étudiants eux-mêmes. Ce qui s’illustre clairement, lorsque certains étudiants, après avoir étudié ou réviser, trouvent mieux de laisser, or des poubelles, les déchets ou ordures qui émanent de leurs travaux. D’autres pour leur part, prennent plaisir de manger leur repas dans des amphis où, ils laissent après, des ordures q’lis ne songent plus à mettre dans les poubelles. En voilà quelques actes indignes, parmi tant d’autres posés par les étudiants, c’est-à-dire, *de vrais intellectuels*.

      Voilà aussi qui traduit le niveau d’insalubrité des amphis théâtres de l’université de Lomé, ainsi que l’état de conscience des étudiants de cette université. Malgré les multiples œuvres de plusieurs associations estudiantines, pour rendre propre les amphis après les cours et malgré la présence des poubelles placées à plusieurs points de l’université, les choses sur le terrain ne donnent pas toujours du sourire, puisque l’insalubrité ne cesse de grimper sensiblement. Cela suscite des inquiétudes et remet en cause l'éducation reçue par ces étudiants. Ces derniers qui ne prennent pas soin de leur lieu d’étude, un lieu où chacun y fait ce qu’il veut! Certes l’université n’est pas le domicile de personne, mais il constitue le point le plus stratégique pour chaque étudiant : c’est le temple où l’on vient chercher du savoir, de la connaissance et aussi de la perfection. Il y’a de quoi donc à considérer cet espace comme un lieu aussi important. Ce lieu doit être un cadre toujours propre, sein et non une source d’épidémies. Un en droit propre, pour un corps sein abritant un esprit sein, ne peut que propulser l’étudiant vers le succès.

     Ceci dit, la santé de l’étudiant au sein de l’université est très importante. Tout étudiant doit dès à présent changé de mentalité, prendre ses responsabilités afin d’éviter de ces actes insalubres au sein de l’université; cela n’engage pas seulement sa santé, mais aussi, son succès en dépend. C’est donc à cette seule condition, que nous pouvions dire non à l’insalubrité à l’université de Lomé!


08/02/2013
0 Poster un commentaire

Et puis elle démarre!

C'est partie pour la 29èm Coupe d'Afrique des nations, C.A.N Afrique du Sud 2013. Pendant 23 jours les nations engagées dans cette compétition vont se mesurer.

Pour l'heure l'affiche du jour est celle du groupe A, surtout avec le match Afrique du Sud-Cap Vert, qui inaugure la compétition.

Bonne chance à toutes les nations et que le meilleur gagne!!


19/01/2013
0 Poster un commentaire

Un écolier extraoedinaire

Une maîtresse d’école demande à ses élèves de faire une phrase dans laquelle il y a l’ expression « je présume ».

Une petite fille lève le doigt et dit :
- Hier, Maman lavait la vaisselle à la main, je présume que le lave-vaisselle était en panne .

- Très bien, dit la maîtresse.

Un autre dit :
- Ce matin, papa est sorti du garage avec la volkswagen, je présume que la BMW ne voulait pas démarrer.

- Bravo!

Un petit gars au fond de la classe lève la main.
- Hier, j’ ai vu grand père sortir de la maison et se diriger vers le bois avec le journal sous le bras, je présume que ….

- Je t’arrête, dit la maîtresse parce que là, tu ne savais pas du tout ce que ton grand-père allait faire. Et tu ne peux rien présumer.

- Maîtresse, laissez moi terminer ma phrase, dit le petits gars .

- Très bien, vas-y, dit-elle.

- Hé donc, comme je viens de vous le dire, j’ai vu mon grand père sortir de la maison et se diriger vers le bois avec le journal sous son bras. Je présume qu’il allait chier car il ne sait pas lire !


15/01/2013
1 Poster un commentaire